Soirée pour les enfants d’Arménie – Astrig Siranossian, Sylvain Tesson et autres surprises
Astrig Siranossian invite Sylvain Tesson, Félicien Brut et d’autres invités surprise pour une soirée exceptionnelle à la Salle Cortot !
Programme
Sareri Hovin Mernem, Chant de la montagne (chant traditionnel arménien) Violoncelle, accordéon, piano
Komitas (1869 – 1935), Pièces populaires pour piano seul — arrangements Alexandre Siranossian
• Garuna (Le Printemps)
• Agh Maral Jan (Ma chère Maral)
• Al Alukh (Le foulard)
• Kélé Kélé (La montagne Alakyaz)
• Keler Tsoler (La goutte d’eau)
Piano : Nathanaël Gouin
Jean Cras (1879 – 1932), Sonate pour violoncelle et piano — 1er mouvement
Violoncelle : Astrig Siranossian
Piano : Nathanaël Gouin
Michel Legrand (1932 – 2019), Les Parapluies de Cherbourg
Accordéon : Félicien Brut
Violoncelle : Astrig Siranossian
Piano : Nathanaël Gouin
Toni Murena (1917 – 1971), 2 valses musettes — Passion et Indifférence
Accordéon : Félicien Brut
Georges Bizet (1838 – 1875) Jeux d’enfants, op. 22 — extraits (arrangement Thibault Perrine)
6. Trompette et tambour
2. La toupie
3. La poupée
4. Les chevaux de bois
9. Colin-maillard
12. Le bal
Piano : Nathanaël Gouin
Robert Schumann (1810 – 1856), Scènes d’enfants, op. 15 — extraits
Piano : Nathanaël Gouin
Lili Boulanger (1893 – 1918), D’un matin de printemps
Violoncelle : Astrig Siranossian
Piano : Nathanaël Gouin
Charles Aznavour (1924 – 2018)
• Sa jeunesse
• For me… formidable
• Hier encore
• She
• Comme ils disent
• La Bohème
Accordéon : Félicien Brut
Violoncelle : Astrig Siranossian
Piano : Nathanaël Gouin
Richard Galliano (1950 – ), Tango pour Claude
Accordéon : Félicien Brut
Violoncelle : Astrig Siranossian
Piano : Nathanaël Gouin
Programme susceptible de légères modifications selon le déroulement de la soirée.
Textes lus par Sylvain Tesson.
Certains arrangements sont réalisés spécialement pour ce concert.
Distribution
Astrig Siranossian, violoncelle
Premier Prix et plusieurs fois Prix Spécial du concours international K. Penderecki, Astrig Siranossian se produit en soliste avec de grands orchestres. Invitée régulièrement par Daniel Barenboim, ses partenaires sur scène ne sont pas moins que Simon Rattle, Martha Argerich, Yo-Yo Ma, Kirill Gernstein, Elena Bashkirova, Emmanuel Pahud.
Elle se produit régulièrement sur les plus grandes scènes : Philharmonie de Paris, Carnegie Hall à New-York, Musikverein de Vienne, Walt Disney Hall à Los Angeles, KKL Luzerne, Casino de Bâle, Théâtre des Champs Élysée, Philharmonie de Berlin, Flagey Bruxelles, Théâtre Colon Buenos Aires, Kennedy Center Washington. Régulièrement invitée sur les chaînes de télévision (TF1, France 2, France 5, CultureBox TV, BR Kultur…), ses enregistrements sont salués unanimement par la presse.
En Octobre 2022 sort son album Duo-Solo, rencontre entre mélodies et danses populaires et répertoire savant faisant dialoguer le violoncelle et la voix. Elle grave en 2021 avec son partenaire de scène Nabil Shehata, le premier concerto de C. Saint-Saëns pour le label Alpha Classics. Pour ce même label, est publié en 2020 l’album « Dear Mademoiselle », un hommage à Nadia Boulanger avec les pianistes avec Nathanaël Gouin et Daniel Barenboim qui reçoit les hommages de la presse internationale.
En 2024, elle grave avec Nathanael Gouin l’album « Invisibles » qui met en lumière trois compositeurs oubliés du répertoire Français avec notamment un enregistrement inédit de la sonate de la compositrice Marcelle Soulage. 2024 est également marquée par un moment fort, Astrig Siranossian est invitée au Panthéon par le président Emmanuel Macron à l’occasion de l’entrée des résistants Missak et Mélinée Manouchian. Elle accompagne la cérémonie en interprétant Grounk, l’oiseau d’Arménie, offrant une procession musicale, chargée d’émotion et de mémoire, aux résonances profondes de son héritage arménien.
Depuis 2015, elle assure la direction artistique des « Musicades », un festival organisé dans sa ville natale, Romans-sur-Isère, qui met en résonance la musique et les arts. En 2019, elle fonde la mission « Spidak Sevane », destinée à venir en aide aux enfants du Liban et d’Arménie à travers des projets musicaux. Elle est nommée en 2023 directrice artistique du festival de violoncelle Adèle Clément, dans la Drôme. En 2024, elle prend la tête du festival « Nadia et Lili Boulanger » à Trouville. Et en 2025, elle lance la première édition du festival « Montrachet Jazz », qui réunit des artistes de jazz classique d’exception autour du vin et de la convivialité.
Astrig Siranossian naît dans une famille de musiciens. Admise au C.N.R. de Lyon, elle poursuit ses études au C.N.S.M. de Lyon, obtenant à dix-huit ans son diplôme d’études supérieures avec les félicitations du jury. C’est en Suisse, au Conservatoire supérieur de Bâle, qu’elle achève sa formation dans la classe d’Ivan Monighetti, réussissant avec les plus hautes distinctions son master concert et son master soliste.
Depuis 2024, Astrig Siranossian enseigne au Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris, ainsi qu’à l’École Normale de Musique de Paris – Alfred Cortot.
Toujours animée par la volonté de promouvoir et de faire émerger de nouvelles initiatives autour de la musique classique, Astrig fonde l’association Traveling Musicians. Cette structure a pour mission d’accompagner les musiciens dans leurs déplacements, en facilitant le transport serein et sécurisé de leurs instruments.
En 2025, elle est décorée de l’Ordre national du Mérite pour l’ensemble de sa carrière et sa contribution au rayonnement culturel de la France.
Astrig Siranossian joue un violoncelle de Francesco Ruggieri de 1676, généreusement prêté par la Fondation Boubo Music ainsi qu’un violoncelle de 1756 du luthier Geinaro Gagliano ayant appartenu à Sir John Barbirolli.
Sylvain Tesson, écrivain voyageur et essayiste

Aventurier et écrivain français né en 1972, Sylvain Tesson fascine ses lecteurs depuis plus de 20 ans par ses récits de voyage. Également auteur de nouvelles et d’essais, il décrit le monde avec justesse et poésie. Ayant déjà parcouru des milliers de kilomètres à travers le monde, il continue de faire rêver le public.
Une vie d’aventures
Sylvain Tesson naît à Paris le 26 avril 1972. Fils du journaliste Philippe Tesson et du docteur Marie-Claude Tesson-Millet, il grandit avec ses deux sœurs, la comédienne Stéphanie Tesson et la journaliste d’art Daphné Tesson. Il étudie au lycée Passy-Buzenval de Paris, où il sympathise avec Alexandre Poussin.
À 19 ans, il goûte pour la première fois à l’aventure en traversant à vélo le désert central d’Islande puis en faisant de la spéléologie à Bornéo. De retour en France, il poursuit des études de géographie et obtient un DEA en géopolitique. Il part ensuite avec son ami Alexandre Poussin pour un tour du monde à vélo, en 1993. Ce périple fait l’objet d’un premier récit de voyage écrit conjointement par les deux jeunes géographes, On a roulé sur la Terre (1996). Un an après cette publication, le duo reprend la route pour s’attaquer à l’Himalaya, qu’ils traversent à pied sur plus de 5 000 km, une aventure relatée dans La Marche dans le ciel (1998).
Vers la fin des années 1990, Sylvain Tesson et sa compagne de l’époque, l’exploratrice Priscilla Telmon, parcourent ensemble les steppes d’Asie centrale à cheval. Si leur relation ne survit pas au voyage, elle fait naître deux ouvrages : La Chevauchée des steppes (2001) et Carnets de steppes (2002). Depuis lors, Sylvain Tesson voyage toujours en solitaire. De mai 2003 à janvier 2004, il se lance sur la trace des évadés du goulag de Sibérie, une longue odyssée qu’il raconte dans L’Axe du loup et l’album photographique Sous l’étoile de la liberté, réalisé avec Thomas Goisque. Le baroudeur relie ensuite Irkoutsk à Pékin en 2007, vit en ermite au bord du lac Baïkal en 2010 et parcourt à moto l’itinéraire emprunté par les troupes de Napoléon lors de la retraite de Russie en 2012.
Le goût du risque
Cette vie d’aventures est cependant mise brutalement entre parenthèses le 20 août 2014. Adepte de toiturophilie depuis l’adolescence, l’auteur chute en escaladant la façade d’une maison à Chamonix lors d’un séjour chez son ami Jean-Christophe Rufin. Placé en coma artificiel pendant huit jours, Sylvain Tesson ressort de son accident avec une paralysie faciale et un certain assagissement. Ces dernières années, il semble en effet prendre moins de risques et se consacrer davantage à l’écriture.
Voyages et poésie
Voyageant toujours de manière autonome, Sylvain Tesson finance ses périples par ses récits de voyage, mais aussi par ses autres écrits. L’aventurier est en effet l’auteur de dizaines de nouvelles, de plusieurs essais et de quelques aphorismes et lexiques. Son style à la fois poétique et mordant a d’ailleurs été plusieurs fois salué par la critique.
Contestataire dans l’âme, Sylvain Tesson porte un regard assez critique sur la société dans ses œuvres. Si elle se veut parfois cynique et cinglante, sa plume est surtout captivante et dépeint avec précision les sensations et les rencontres vécues par l’aventurier. Trouvant toujours le mot juste, Sylvain Tesson parvient ainsi à chaque fois à faire voyager le lecteur.
Un aventurier primé
Déjà récompensé en début de carrière par le prix spécial jeunes de l’IGN pour On a roulé sur la Terre, Sylvain Tesson séduit à plusieurs reprises les critiques. En 2009, il obtient le prix Goncourt de la nouvelle pour Une vie à coucher dehors. Deux ans plus tard, c’est son essai Dans les forêts de Sibérie qui est récompensé du prix Médicis essai. En 2015, il reçoit enfin le prix de la Page 112 et le prix des Hussards pour Berezina.
Toujours à la recherche de nouvelles aventures, Sylvain Tesson élabore actuellement d’autres projets de voyage.
En 2019, il obtient le prix Renaudot pour son roman La panthère des neiges paru le 10 octobre 2019.
Félicien Brut, accordéoniste
Félicien Brut est devenu, en quelques années, le représentant de l’accordéon dans la nouvelle génération de musiciens classiques français, défendant ardemment le caractère polymorphe de son instrument et suscitant la création d’un nouveau répertoire lui étant dédié en musique de chambre et avec orchestre.
Né en 1986 en Auvergne, Félicien entame sa formation musicale très jeune en abordant, en premier lieu, le répertoire musette et populaire intrinsèquement lié à son instrument. En 2007, il remporte successivement les trois plus grands concours internationaux d’accordéon existants : le Concours de Klingenthal en Allemagne, le Concours de Castelfidardo en Italie et le Trophée Mondial d’Accordéon à Samara en Russie. Ces récompenses le propulsent dès 2008 sur les scènes internationales de nombreux festivals.
C’est en 2017 que son parcours prend véritablement son envol. Il donne vie à l’étonnant projet Le Pari des Bretelles aux côtés du Quatuor Hermès et du contrebassiste Édouard Macarez, réunissant ainsi musette et musique classique au sein d’un même programme de concert. Le succès est immédiat et confère une très grande visibilité à l’accordéon dans l’univers de la musique de chambre. En 2019, Félicien réitère l’aventure, entouré des mêmes comparses, avec le projet NEUF : un programme constitué de neuf créations originales, signées de neuf compositeurs d’aujourd’hui et toutes inspirées de l’œuvre de Beethoven. Les enregistrements du Pari des Bretelles et de NEUF sont parus chez Mirare respectivement en 2018 et 2020.
Au-delà de ce sextuor, Félicien imagine différents programmes de musique de chambre en s’entourant de brillants musiciens. Il se produit très régulièrement en duo avec le guitariste Thibaut Garcia ou la trompettiste Lucienne Renaudin-Vary. En 2021, c’est un quintette qui voit le jour avec Thomas Enhco, Thibaut Garcia, Jordan Victoria et Édouard Macarez pour rendre hommage au Nuevo Tango d’Astor Piazzolla en cette année qui marque le centenaire du compositeur argentin.
Dès 2018, il fait ses débuts avec orchestre en étant l’invité du festival « Un Violon sur le Sable » pour la création de Caprice d’accordéoniste, une fantaisie pour accordéon et orchestre composée par Thibault Perrine. Il a ensuite l’occasion de se produire à plusieurs reprises aux côtés de l’orchestre National de Cannes sous la direction de Benjamin Levy, puis fait un passage remarqué dans l’émission « Fauteuil d’orchestre », présentée par Anne Sinclair, aux côtés de l’orchestre Philharmonique de Radio France.
Ces premières expériences sont fondatrices d’une envie irrépressible de défendre l’accordéon comme instrument soliste dans le répertoire symphonique. Félicien passe alors commande au compositeur Fabien Waksman d’un concerto pour accordéon : L’Île du Temps. Il est créé en octobre 2021 aux côtés de l’orchestre National de Bordeaux-Aquitaine, sous la baguette d’Antonio Méndez. Félicien travaille sur son prochain enregistrement avec orchestre qui paraîtra à l’automne 2022 sous le label Warner Classics / Erato, une première pour l’accordéon au sein de cette prestigieuse maison de disque.
Toujours avec la même volonté de défendre son instrument, Félicien produit et présente depuis début septembre une émission hebdomadaire sur France Musique : « Brut d’accordéon ».
Nathanaël Gouin, piano
Nathanaël Gouin s’impose comme « un très grand talent du piano Français » (L’humanité), loué pour « la merveilleuse invention de ses sonorités » (Classica) et ses « interprétations d’une grande noblesse »(Diapason). Paru en septembre 2020, son deuxième disque récital « Bizet sans Paroles » (Mirare) est encensé par la critique et se voit récompensé d’un Diapason d’or alors que le Monde y voit « la confirmation d’un magnifique musicien » et « une indéniable réussite ».
Le premier album de Nathanaël Gouin, Liszt Macabre, paru en 2017 avait déjà suscité des réactions enthousiastes des critiques. Pour Diapason, « Liszt Macabre se signale autant par la pertinence du programme que la perfection de la réalisation » alors que, selon Classica (qui lui décerne un Choc), « ce funèbre registre lui permet d’exprimer tout son talent, lumineux ! ». Son nouvel Album intitulé Caprices (Mirare) reçoit également le meilleur accueil en 2023 dont on loue « la subtilité du son » (Classica).
Lors de sa résidence à la Chapelle Musicale Reine Elizabeth de Belgique, il reçoit le soutien Maria João Pires, qui le présente au public dans le cadre du projet Partitura, concept réunissant différentes générations de musiciens dans le partage de la scène, donnant lieu à d’importantes tournées en Europe et au Japon.
Nathanaël Gouin est devenu un soliste recherché, se produisant en Europe, Asie, ou encore aux États-Unis. Il est invité dans des salles prestigieuses telles que la grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris et la Cité de la musique à Paris, La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, la Salle Rameau à Lyon, Bozar et la Salle Flagey à Bruxelles, sans oublier des festivals tels que ceux de La Roque d’Anthéron, de Radio France Montpellier, ou encore Les Flâneries musicales de Reims, Piano aux Jacobins à Toulouse, Les Folles Journées de Nantes Tokyo Varsovie ou Ekaterinbourg, ainsi que la Salle Bourgie de Montréal.
Nathanaël Gouin est un soliste recherché, qui se produit régulièrement en concerto avec orchestre tels que le Philharmonique de Liège, l’ensemble Les Siècles, le New Japan Philharmonic, l’Orchestre National d’Île-de-France, le Brussels Philharmonic, le Sinfonia Varsovia, sous la direction de chefs tels que Karina Canellakis, Christopher Warren-Green, Augustin Dumay ou encore Mathieu Herzog. Il se produit par ailleurs sur tous les continents est invité dans des salles prestigieuses telles que la grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris et la Cité de la musique à Paris, La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, la Salle Rameau à Lyon, Bozar et la Salle Flagey à Bruxelles, sans oublier des festivals tels que ceux de La Roque d’Anthéron, de Radio France Montpellier, ou encore Les Flâneries musicales de Reims, Piano aux Jacobins à Toulouse, Les Folles Journées de Nantes Tokyo Varsovie ou Ekaterinbourg, ainsi que la Salle Bourgie de Montréal.
C’est en 2016 que paraît l’enregistrement du Concerto pour piano et orchestre d’Edouard Lalo avec le Philharmonique de Liège placé sous la direction de Jean-Jacques Kantorow (Label Outhere), disque qui reçoit les meilleures critiques. La musique de chambre est évidemment très présente dans sa vie artistique et il est le partenaire régulier de grands interprètes tels que Renaud Capuçon, Augustin Dumay, Astrig Siranossian ou Raphael Sévère. Le disque « Dear Mademoiselle » (Alpha) autour des élèves de Nadia Boulanger conçu avec la violoncelliste Astrig Siranossian avec la participation de Daniel Barenboim et dans lequel Nathanaël Gouin signe les transcriptions, a reçu également les plus belles éloges.
Il se produit également en duo avec le violoniste Guillaume Chilemme (Enregistrement Ravel/Canal et Schubert) ainsi qu’en trio avec le violoncelliste Yan Levionnois et G.Chilemme (album Beethoven Korngold – Mirare). Il est fréquemment invité des programmes télévisuels telles que les Victoires de la musique Classique (France 3) et dans les émissions de Radio Classique et France Musiques.
Nathanaël Gouin commence l’étude du piano et du violon à l’âge de 3 ans. Formé au Conservatoire de Toulouse et de Paris, à la Juilliard School de New York, mais également aux Hochschulen für Musik de Fribourg-en-Brisgau et de Munich, l’Académie Musicale de Villecroze, ainsi que quatres années de résidence à la Chapelle Reine Elisabeth. La grande pianiste Portuguaise Maria João Pires le découvre en 2014 et lui offre un regard international dans le cadre du projet Partitura, concept réunissant différentes générations de musiciens dans le partage de la scène, donnant lieu à d’importantes tournées en Europe et au Japon.
Il a également reçu les conseils de grands musiciens tels que Jean-Claude Pennetier, Avedis Kouyoumdian, Denis Pascal, Rena Shereshevskaya, Michel Dalberto, Louis Lortie ou encore Dimitri Bashkirov.Lauréat de nombreux concours internationaux, tel que le Concours Johannes Brahms à Pörtschach en Autriche (Premier Prix), le Concours de duos de Suède (Premier Prix), ou encore le Concours de Musique de chambre de Lyon, il est de plus lauréat de la Fondation d’entreprise Banque Populaire, de la Fondation Meyer, et est artiste-résident à la Fondation Singer-Polignac.
Donnant de nombreuses masterclasses, il est nommé professeur de piano à l’école Normale de Paris en 2024. Il est également compositeur, et crée de nombreuses oeuvres pour piano, voix et orchestre et ses transcriptions pour piano rencontrent un vif succès.
Organisateur
Toute la ProgrammationCarré or : 50€
Plein tarif : 35€
Tarif réduit (demandeurs d’emploi) : 20€
Tarif étudiant / -25 ans : 10€



